A situation analysis was undertaken to assess impediments to health impact assessment (HIA) in the South-East Asia Region of WHO (SEARO). The countries of the region were assessed on the policy framework and procedures for HIA, existing infrastructure required to support HIA, the capacity for undertaking HIA, and the potential for intersectoral collaboration. The findings show that environmental impact assessment (EIA) is being used implicitly as a substitute for HIA, which is not explicitly or routinely conducted in virtually all countries of the Region. Therefore, policy, infrastructure, capacity, and intersectoral collaboration need strengthening for the routine implementation of HIA.
Se emprendió un análisis de la situación para evaluar los obstáculos a la evaluación del impacto sanitario (EIS) en la Región de Asia Sudoriental (SEARO) de la OMS. Los países de la SEARO fueron evaluados en lo relativo al marco de política y los procedimientos de EIS, la infraestructura existente necesaria en apoyo de la EIS, la capacidad de emprender EIS y el potencial de colaboración intersectorial. Los resultados indican que la evaluación del impacto ambiental (EIA) se está utilizando tácitamente en sustitución de la EIS, que no se lleva a cabo explícita o sistemáticamente en casi ningún país de la Región. Por consiguiente, es necesario reforzar la política, la infraestructura, la capacidad y la colaboración intersectorial para aplicar sistemáticamente la EIS.
Une analyse de situation a été entreprise pour évaluer les obstacles à la réalisation d'études d'impact sur la santé dans la Région OMS de l'Asie du Sud-Est (SEARO). Ont été examinés pour les différents pays de cette Région le cadre politique et les procédures pour la réalisation d'études d'impact sur la santé, l'infrastructure existante nécessaire pour appuyer de telles études, la capacité à entreprendre des études d'impact et le potentiel de collaboration intersectorielle. Il est ressorti de cette analyse que les études d'impact sur l'hygiène du milieu remplaçaient en fait implicitement les études d'impact sur la santé qui n'étaient expressément ou systématiquement effectuées dans pratiquement aucun des pays de la Région. Il est donc nécessaire de renforcer le cadre politique, l'infrastructure, la capacité et la collaboration intersectorielle pour pouvoir effectuer couramment des études d'impact sur la santé.